..il s'en faut pour ne point tomber dans l'abîme, éviter justement ce néant gueule béante.. juste sauter ce ru, là, à nos pieds et hop ! de l'autre côté du versant comme celui d'une colline et ou celle d'une de mes dunes adorées.. je parle pas de lumière car l'ombre y est parvenu.. je parle pas d'or et de rubis car les pierres ont été reprises par d'autres que moi.. je parle juste de véritas celle qui m'habite, grandissante, et dont j'ai besoin pour faire, comprendre avancer.. comme celle d'un ignorant qui pense avoir saisi alors qu'il a rien compris.. vétitas je te tiens, je pensais te tenir.. véritas tu m'as eu en fin de compte..